vendredi 16 septembre 2016

HABEAS CORPUS : La perfection a un prix

Voici un livre qui, hélas ne fera pas long feu dans ma bibliothèque.
Phrases trop longues, termes alambiqués, bref j'ai perdu l'intrique qui pourtant était prometteuse, dès le début du livre. Et puis aussi, allez je l avoue c'est long mais long, même l'auteur suédois avec Millénium arrivait à faire les choses mieux. Pour faire une comparaison j'ai préféré Flaubert et Madame Bovary (qui est soporifique par moment). Mais comme le proverbe dit : des goûts et des couleurs chacun fait son choix.
Je n'ai pas accroché mais cela n'empêche pas que certains peuvent aimer les phrases de trois kilomètres au point où arriver à la fin de celle-ci vous ne savez plus qu'elle était le début.
Bon enfin je n'ai pas aimé,vous avez bien compris. Mais j'ai qu'en même fini le livre, si si , et c'était une torture vraiment. 
Remarquez le style ne me plaît pas mais il peut plaire à d'autre.  Chacun est libre de penser ce qu'il souhaite et il est une chance que nous ne nous ressemblons pas tous !
Toutefois je reconnais une chose, la couverture est simple mais bien.
Vous pouvez vous le procurer, car oui je suis fair-playhttps://www.amazon.fr/Habeas-Corpus-perfection-Victor-Boissel/dp/B019OUM6B2

Résumé :
La jeunesse et la beauté, deux richesses qui d’ordinaire ne font que se dissoudre dans le temps.

Mais dans le monde où vit Edgaar Finker, la jeunesse et la beauté forment la monnaie avec laquelle on rémunère ceux qui accomplissent de grandes choses.

Un monde idéal, à bien des égards, un monde sans pauvreté, ni crime, ni police, un monde où le bonheur du plus grand nombre est la préoccupation de chaque instant.

Or un jour une main meurtrière frappe et une victime tombe. L’impensable est commis. Un meurtre. Il n’existe ni méthode ni institution pour l’élucider.

Edgaar Finker, le fonctionnaire qui a découvert le corps, se voit chargé de l’enquête. Il s’engouffre alors dans un dédale d’aventures qui lui révèleront les entrailles de ce monde à la plastique irréprochable.

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